Titre : | 7 ans après la loi “Avenir professionnel”. Formation : les moyennes entreprises en manque de soutien (2025) |
Auteurs : | Raphaëlle Pienne ; Eric Chevée, Interviewé |
Type de document : | Article : article de périodique |
Dans : | Inffo formation (n° 1105, 1er-14 octobre 2025) |
Pagination : | pp. 9-14 |
Langues: | Français |
Mots-clés : |
Thesaurus formation 2019 PME PMI ; FORMATION ENTREPRISE ; LOI ; FINANCEMENT FORMATION ENTREPRISE ; REFORME FORMATION |
Résumé : |
Davantage d’autonomie, mais plus de responsabilités, avec moins de financements. C’est la nouvelle donne qu’ont dû affronter les entreprises de 50 à 300 salariés, pour lesquelles la loi “Avenir professionnel” de 2018 a marqué la fin de l’accès aux fonds mutualisés pour le financement de leurs plans de développement des compétences. Sept ans plus tard, et alors que les transitions s’accélèrent, cette réforme s’est-elle avérée trop ambitieuse pour cette catégorie d’entreprises ? Ou serait-ce plutôt que leurs contraintes ont été insuffisamment considérées à l’époque, et demandent d’imaginer aujourd’hui de nouveaux modèles de financement et d’accompagnement ?
Bouleversé par la réforme de 2018, le modèle de financement de la formation dans les entreprises de 50 à 300 salariés doit-il être repensé ? Dans un contexte budgétaire peu propice, les solutions “traditionnelles” ne vont plus forcément de soi. Le changement de paradigme de la loi “Avenir professionnel” n’a pas été forcément aisé à adopter pour les entreprises de 50 à 300 salariés. C’est ce qu’observent les consultants les accompagnant dans leurs stratégies de développement des compétences, rappelant qu’elles ont leurs propres contraintes. |
Note de contenu : |
- Dans les moyennes entreprises, un financement de la formation à réinventer
- 3 questions à Éric Chevée, vice-président de la CPME en charge des affaires sociales - Dépenses au titre de la formation professionnelle en 2023 - Réforme de 2018 : pour les moyennes entreprises, un virage difficile |